La réflexion derrière un bon nom de société.
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Les entrepreneurs savent la difficulté que représente le choix d’un « bon » nom de société. Est-ce qu’on intègre son nom ? Son activité ? Est-ce que c’est trop long ? Trop court ? Trop évident, pas assez évident ?
Un autre aspect rentre en ligne de compte quand le business a une portée internationale : quelle langue choisir ? Faut-il miser sur l’anglais ? Faut-il miser sur la langue de notre clientèle-cible ?
Le casse-tête
Toutes ces questions, on se les est posées pendant de longs mois. On a lu beaucoup d’articles pour les entrepreneurs qui expliquaient comment bien nommer une société. On a eu beaucoup d’idées qui nous ont beaucoup plu, d’autres moins, ou bien certaines qu’on aimait beaucoup mais pas notre entourage, et d’autres que notre entourage aimait mais qui ne nous faisaient pas rêver…
Revenir aux bases
Et un jour en pleine session de brainstorming, on est revenues aux bases de tokimeki :
Pourquoi a-t-on décidé de se lancer dans l’aventure qu’est monter une société de soutien opérationnel pour les professionnels à l’autre bout du monde ?
Pour qu’ils passent un moment inoubliable, qu’ils continuent à être excités des années après rien qu’en y pensant, en bref, que le séjour que nous accompagnons leur donne du « tokimeki » ; du cœur qui bat la chamade.
Avant de se lancer
Une fois qu’on a eu ce déclic, il fallait alors faire une veille des sociétés enregistrées avec ce nom au Japon, pour voir s’il était pris tout d’abord, et par dans quel domaine d’activité ensuite.
S’il n’y a pas de sociétés enregistrées avec le nom “tokimeki” en alphabet latin, plusieurs sont répertoriés en hiragana (alphabet phonétique japonais). Donc jusque-là, tout va bien. Mais un petit tour sur les réseaux sociaux, et rien ne va plus : des tokimeki en veux-tu en voilà. Il nous fallait donc nous différencier, et c’est de là qu’est né « tokimeki by a&m » car c’est une expérience « tokimeki » fournie par Alice & Mathilde, d’où le « byam » que vous retrouvez sur notre nom de domaine et nos identifiants sur les réseaux sociaux.
Voilà, vous connaissez la petite histoire du « mais c’est quoi ce « byam »? » !
Rendez-vous dans un futur post pour d’autres behind the scenes de tokimeki et des tips pour bien travailler avec des Japonais.